Entre 2001 et 2010, la part de consommateurs déclarant attendre les soldes passe de 59 % à 65%.
Le rapport du CREDOC (Centre de Recherche pour l'étude et l'Observation des Conditions de vie) souligne l’inversion de tendance entre 2005 et 2010 sur l’appréciation des soldes par les consommateurs. Ainsi, tandis qu’en 2005, les soldes représentaient une fête consumériste pour près de 53% des consommateurs et une nécessité budgétaire pour 47% d’entre eux, ces soldes sont considérés comme une nécessité budgétaire pour 56% des consommateurs, et une fête pour 44% d’entre eux.
Toujours du point de vue des consommateurs, si l’on se fie à l’enquête menée par l’IFM en octobre 2010, 71% d’entres-eux soutiennent ce mécanisme de soldes flottants… et la moitié des Français s’accordent pour laisser les commerçants libres d’en fixer les dates.
Enfin si l’on étudie les catégories socioprofessionnelles, les soldes flottants ont plutôt moins convaincu les populations de cadres que les soldes classiques. A l’inverse, ils ont plus intéressé les 15-24 ans. Ce sont les familles avec enfants qui en ont le plus profité alors que les personnes vivant seules sont nettement en retrait.
Les soldes (fixes ou flottants) perçus par les consommateurs
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